S’il y a bien un service hospitalier dont l’évocation ne laisse personne indifférent c’est celui de la réanimation ou des soins intensifs. Intensif : tout semble l’être dans ces lieux où la vie ne tient parfois qu’au fil d’un respirateur artificiel. Intensif : le bruit des machines, les lumières, l’effervescence du personnel, l’activité en continu. Ces services sont des zones de transit, à la fois porteuses d’espoir et de peur, de soins et de douleurs. Le vieillissement de la population, les avancées technologiques ont contribué à augmenter la charge de travail et la technicité des soins.
Cette notion n’est pas la même selon qu’on l’aborde d’un point de vue patient ou d’un point de vue soignant et pourtant l’un ne va pas sans l’autre. Pour un patient, elle consisterait à préserver la qualité de vie, à diminuer le stress et les sources d’inconfort. Pour l’équipe soignante, elle serait plutôt de l’ordre de la diminution de la difficulté physique du travail et de la charge émotionnelle qui conduisent à l’épuisement professionnel.
Un lit de réanimation doit apporter tout le confort nécessaire à un patient lourdement atteint tout en facilitant les gestes prodigués par le personnel soignant. J’enfonce des portes ouvertes ? Fort d’un savoir-faire de presque trente ans et d’une collaboration étroite avec du personnel hospitalier, Linet ajoute continuellement de nouvelles fonctionnalités sur ses lits pour contribuer à ce mieux vivre la réanimation. Eleganza 5 est le dernier-né d’une gamme de lits, spécialement conçus pour les services de soins intensifs.
Outre les pathologies qu’il faut traiter chez un patient, il faut prévenir les risques consécutifs à une immobilisation prolongée. Qu’elle soit passive ou active, la mobilisation précoce du patient est fortement recommandée. Certaines positions, telle que la position semi-assise à 30°, le décubitus latéral ou ventral pour améliorer l’oxygénation, sont recommandées pour les sujets inconscients. Le retour à la station debout et la marche doivent être pratiqués dès que possible avec les sujets actifs.
diminue considérablement le poids journalier soulevé par un.e infirmier.e et favorise la mobilisation en douceur du patient, quel que soit sa corpulence et son degré d’autonomie.
Parce que c’est une position recommandée pour les patients insuffisants respiratoires, cardiaques ou porteurs de sondes nasogastriques, entre autre, elle est pré-programmée et la course du buste stoppe automatiquement à 30° en montée comme en descente.
associée à la latéralisation du plan de couchage, elle favorise la mobilisation précoce active du patient et lui redonne la confiance dont il a besoin pour accomplir des gestes autrefois instinctifs.
Et encore, on ne vous parle pas du plan de couchage dont la longueur se règle électriquement pour lutter contre l’équinisme, de la lampe intégrée à la télécommande pour ne pas allumer la lumière de la chambre et préserver le sommeil du patient….
CG.